Tu veux parler d’une expérience inoubliable….Ma dernière sortie en mer, voila un sujet qui me tiens à cœur l’homme. Voici la mienne.
Pour ceux qui me connaissent bien, le pied marin n’est pas exactement ma spécialité. Fils et petit fils de marin, Pepe Kérity est toujours quelque part aux Etocs depuis 1949, tous ce que l’on a retrouvé c’est une de ses bottes rejetée à la cote.
Cela me rappelle une anecdote ; nous sommes a Vegas dans le milieu des années 90 et la j’ai un des buffets les plus populaires de la ville « Bally’s Sterling Brunch « Je reçois aujourd’hui une des critiques gastronomiques les plus réputées du pays, le responsable de la section gastro du New-York Times. C’était l’époque ou les journaux étaient en papier et non pas virtuels ! Apres 1 heure en cuisine tout se passe très bien elle découvre la station homards en effet le petit bleu du Maine fait parti du menu. En d’autres termes près de 500 homards par dimanche passent a la casserole, façon de dire car ils son fendu en 2 brossés au beurre Café de Paris et finis a la salamandre. L’horreur commence : mais chef comment pouvez vous…les pauvres petites bêtes….c’est si cruel et bla bla bla.
La patience non plus n’est pas mon fort alors après 3 minutes, je lui montre une des bébêtes et je lui rencontre l’histoire de mon grand père aux étocs. Et bien me dit elle quel est le rapport ; le rapport ma chère est que toutes ses bestioles font partie de la même famille ….et se sont elles qui se sont occupées de pépé quant il a coulé. Ils ont émigrées aux USA dans les années 50….ALORS CRACK le couperet continuera à tomber.
Revenons a notre virée en mer, pour moi la dernière remonte a 1981 ….et VOUI le temps passe. Je reviens d’une saison difficile aux Bahamas avec mon assistant Peter Bailey un anglais de bonne souche ….pour une fois, mais cela est une autre histoire.
Il voulait connaître la mer en Bretagne, nous la mer on la connaît, Royal Navy etc etc. Nous sommes au Triskell chez Annick quant un patron local l’entends et il me dit ; Éric si vous voulez venir Lundi avec nous soyez sur le quai a 5 heures.
Nous étions sur le quai à 5 heures ….mais dans quel état !!! Roger Penty venait de fermer ses portes, le compte était plus que bon et le temps typiquement de chez nous. Y’avais du clapot dans le port pour ceux qui connaissent. Le reste je me souviens plus très bien 5 minutes après être sorti de la passe, je n’avais plus rien dans l’estomac 5 minutes plus tard jamais mort. Je me suis réveillé dans le poste avant avec un poch plastic et les aussières. Surprise inanimé à cote de moi l’Anglais et VOUI le Royal Navy n’avait pas résisté non plus. L’après midi on a refait surface mais dur dur…..A la vente le soir mon cousin Pierrot m’a dit : tu vois aujourd’hui, t’as rajouté 10 ans dans ta vie, tu as tout purgé. Pas con l’ami Pierrot. Voila la photo prise à bord ; l’Anglais est toujours un peu palot……qui peut nommer le patron pour un bannick chez le bosco.
Bon week-end a toutes et a toutes. Kenavache….le veau est malade.
Pour ceux qui me connaissent bien, le pied marin n’est pas exactement ma spécialité. Fils et petit fils de marin, Pepe Kérity est toujours quelque part aux Etocs depuis 1949, tous ce que l’on a retrouvé c’est une de ses bottes rejetée à la cote.
Cela me rappelle une anecdote ; nous sommes a Vegas dans le milieu des années 90 et la j’ai un des buffets les plus populaires de la ville « Bally’s Sterling Brunch « Je reçois aujourd’hui une des critiques gastronomiques les plus réputées du pays, le responsable de la section gastro du New-York Times. C’était l’époque ou les journaux étaient en papier et non pas virtuels ! Apres 1 heure en cuisine tout se passe très bien elle découvre la station homards en effet le petit bleu du Maine fait parti du menu. En d’autres termes près de 500 homards par dimanche passent a la casserole, façon de dire car ils son fendu en 2 brossés au beurre Café de Paris et finis a la salamandre. L’horreur commence : mais chef comment pouvez vous…les pauvres petites bêtes….c’est si cruel et bla bla bla.
La patience non plus n’est pas mon fort alors après 3 minutes, je lui montre une des bébêtes et je lui rencontre l’histoire de mon grand père aux étocs. Et bien me dit elle quel est le rapport ; le rapport ma chère est que toutes ses bestioles font partie de la même famille ….et se sont elles qui se sont occupées de pépé quant il a coulé. Ils ont émigrées aux USA dans les années 50….ALORS CRACK le couperet continuera à tomber.
Revenons a notre virée en mer, pour moi la dernière remonte a 1981 ….et VOUI le temps passe. Je reviens d’une saison difficile aux Bahamas avec mon assistant Peter Bailey un anglais de bonne souche ….pour une fois, mais cela est une autre histoire.
Il voulait connaître la mer en Bretagne, nous la mer on la connaît, Royal Navy etc etc. Nous sommes au Triskell chez Annick quant un patron local l’entends et il me dit ; Éric si vous voulez venir Lundi avec nous soyez sur le quai a 5 heures.
Nous étions sur le quai à 5 heures ….mais dans quel état !!! Roger Penty venait de fermer ses portes, le compte était plus que bon et le temps typiquement de chez nous. Y’avais du clapot dans le port pour ceux qui connaissent. Le reste je me souviens plus très bien 5 minutes après être sorti de la passe, je n’avais plus rien dans l’estomac 5 minutes plus tard jamais mort. Je me suis réveillé dans le poste avant avec un poch plastic et les aussières. Surprise inanimé à cote de moi l’Anglais et VOUI le Royal Navy n’avait pas résisté non plus. L’après midi on a refait surface mais dur dur…..A la vente le soir mon cousin Pierrot m’a dit : tu vois aujourd’hui, t’as rajouté 10 ans dans ta vie, tu as tout purgé. Pas con l’ami Pierrot. Voila la photo prise à bord ; l’Anglais est toujours un peu palot……qui peut nommer le patron pour un bannick chez le bosco.
Bon week-end a toutes et a toutes. Kenavache….le veau est malade.